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Chroniques Napoléoniennes - De la création de la Légion d'Honneur à la mort de l'Empereur
19,50 €
Le présent ouvrage rassemble onze textes sur Napoléon Ier et le Premier Empire. Si certains sujets sont bien connus des passionnés de cette période, comme la légion d’Honneur ou l’école spéciale militaire de Fontainebleau, d’autres, par contre, nous invitent à découvrir des aspects peu connus de l’histoire du Grand Homme, comme l'appelait le Capitaine Coignet. Tel est le cas de la petite étude consacrée à Napoléon et l'Amérique, de ce surnaturel qui sembla suivre l'Empereur des Français tout au long de son existence, ou encore du triste sort réservé à son fils, le duc de Reichstadt, vraisemblablement mort empoisonné. Tout au long de ces récits pour le moins captivants, l'auteur nous entraîne principalement à la rencontre d'un homme encore bien trop méconnu aujourd'hui, bien qu'ayant fait l'objet d'un nombre considérable d'ouvrages (on estime que, depuis son décès survenu en 1821, un livre est sorti chaque jour sur le petit Caporal). Ce faisant, l'auteur tord le cou à toutes ces contrevérités sans cesse véhiculées sur le compte de Napoléon, y compris dans son propre pays, pointant du doigt son principal calomniateur de l'époque qui était aussi son ennemi le plus acharné : la perfide Albion, pour reprendre l'expression due à Bossuet.
Le présent ouvrage rassemble onze textes sur Napoléon Ier et le Premier Empire. Si certains sujets sont bien connus des passionnés de cette période, comme la légion d’Honneur ou l’école spéciale militaire de Fontainebleau, d’autres, par contre, nous invitent à découvrir des aspects peu connus de l’histoire du Grand Homme, comme l'appelait le Capitaine Coignet. Tel est le cas de la petite étude consacrée à Napoléon et l'Amérique, de ce surnaturel qui sembla suivre l'Empereur des Français tout au long de son existence, ou encore du triste sort réservé à son fils, le duc de Reichstadt, vraisemblablement mort empoisonné. Tout au long de ces récits pour le moins captivants, l'auteur nous entraîne principalement à la rencontre d'un homme encore bien trop méconnu aujourd'hui, bien qu'ayant fait l'objet d'un nombre considérable d'ouvrages (on estime que, depuis son décès survenu en 1821, un livre est sorti chaque jour sur le petit Caporal). Ce faisant, l'auteur tord le cou à toutes ces contrevérités sans cesse véhiculées sur le compte de Napoléon, y compris dans son propre pays, pointant du doigt son principal calomniateur de l'époque qui était aussi son ennemi le plus acharné : la perfide Albion, pour reprendre l'expression due à Bossuet.