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Depuis 1870, Napoléon III - premier président de la République et dernier souverain français est présenté comme un imbécile, un fourbe, un parvenu, auquel on ne pardonne pas le coup d'Etat du 2 décembre 1851, et qu'on accuse d'être responsable de la défaite de Sedan. Si cette hostilité perdure jusqu'à nos jours, ce n'est pas que des historiens n'aient pas peu à peu rétabli la vérité sur l'empereur, lui rendant enfin justice, mais parce que la République, à travers ses dirigeants, n'a jamais daigné faire de même. Il y aurait pourtant grands bénéfices à reconnaître officiellement l'homme et ses idées politiques. Car Louis-Napoléon Bonaparte est un homme de principes. Au sommet de ces principes figure sans conteste son souci du peuple, véritable idée fixe qui détermine toutes les autres et fait la particularité de son règne et, au-delà, celle du bonapartisme. Elu démocratiquement en 1848, c'est au service du peuple qu'il gouverna la France pendant vingt ans
Depuis 1870, Napoléon III - premier président de la République et dernier souverain français est présenté comme un imbécile, un fourbe, un parvenu, auquel on ne pardonne pas le coup d'Etat du 2 décembre 1851, et qu'on accuse d'être responsable de la défaite de Sedan. Si cette hostilité perdure jusqu'à nos jours, ce n'est pas que des historiens n'aient pas peu à peu rétabli la vérité sur l'empereur, lui rendant enfin justice, mais parce que la République, à travers ses dirigeants, n'a jamais daigné faire de même. Il y aurait pourtant grands bénéfices à reconnaître officiellement l'homme et ses idées politiques. Car Louis-Napoléon Bonaparte est un homme de principes. Au sommet de ces principes figure sans conteste son souci du peuple, véritable idée fixe qui détermine toutes les autres et fait la particularité de son règne et, au-delà, celle du bonapartisme. Elu démocratiquement en 1848, c'est au service du peuple qu'il gouverna la France pendant vingt ans