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Comme pour la prostitution, on dit de la pauvreté qu'elle a toujours existé et qu'elle existera toujours. On trouve toutes deux acceptables tant qu'elles ne nous touchent pas personnellement. Malgré notre refus d'envisager d'y mettre fin, nous exigeons des lois garantissant égalité et équité. Étrange dichotomie ! De la même façon, les crises économiques se produisent à répétition depuis deux siècles sans qu'on remette en question le système bancaire, et encore moins le gouvernement qui l'endosse. En étudiant le système monétaire, on comprend vite que banquiers et politiciens ont toujours marché main dans la main pour enrichir les riches et appauvrir les pauvres. Et pourtant, le vrai pouvoir appartient à l'être humain, mais comme ce dernier refuse de le reconnaître et de l'exercer, on se retrouve dans une situation absurde où l'individu crée la richesse et les banquiers l'encaissent. Tôt ou tard, l'être humain découvrira que l'argent est le miroir de son état de conscience. Il est riche et ne le sait pas. Faudra-t-il qu'il en arrive à l'esclavage complet et à une dépendance totale envers les banquiers mondiaux pour décider soit d'y sombrer soit de passer à la prochaine espèce ? L'élite nous impose la première option par la dilapidation immodérée des biens publics et l'appauvrissement systématique des populations. Quant à la seconde option, elle implique d'abandonner les deux mensonges sur lesquels repose la survie de l'humanité - la propriété et la sécurité - pour que se manifeste l'abondance inhérente à la personne consciente de sa nature créatrice illimitée.
Comme pour la prostitution, on dit de la pauvreté qu'elle a toujours existé et qu'elle existera toujours. On trouve toutes deux acceptables tant qu'elles ne nous touchent pas personnellement. Malgré notre refus d'envisager d'y mettre fin, nous exigeons des lois garantissant égalité et équité. Étrange dichotomie ! De la même façon, les crises économiques se produisent à répétition depuis deux siècles sans qu'on remette en question le système bancaire, et encore moins le gouvernement qui l'endosse. En étudiant le système monétaire, on comprend vite que banquiers et politiciens ont toujours marché main dans la main pour enrichir les riches et appauvrir les pauvres. Et pourtant, le vrai pouvoir appartient à l'être humain, mais comme ce dernier refuse de le reconnaître et de l'exercer, on se retrouve dans une situation absurde où l'individu crée la richesse et les banquiers l'encaissent. Tôt ou tard, l'être humain découvrira que l'argent est le miroir de son état de conscience. Il est riche et ne le sait pas. Faudra-t-il qu'il en arrive à l'esclavage complet et à une dépendance totale envers les banquiers mondiaux pour décider soit d'y sombrer soit de passer à la prochaine espèce ? L'élite nous impose la première option par la dilapidation immodérée des biens publics et l'appauvrissement systématique des populations. Quant à la seconde option, elle implique d'abandonner les deux mensonges sur lesquels repose la survie de l'humanité - la propriété et la sécurité - pour que se manifeste l'abondance inhérente à la personne consciente de sa nature créatrice illimitée.