Salut c'est nous...les Cookies ! On a attendu d'être sûrs que le contenu de ce site vous intéresse avant de vous déranger, mais on aimerait bien vous accompagner pendant votre visite... C'est OK pour vous ?
Voici le récit palpitant de l'une des plus grandes offensives de charme de l'histoire : la campagne de Nelson Mandela pour unifier son pays, en un parcours de dix ans d'une cellule de prison à un tournoi de rugby. Ce livre a inspiré le film éponyme réalisé par Clint Eastwood avec Morgan Freeman et Matt Damon. En 1985, Nelson Mandela, alors incarcéré depuis 23 ans, entreprit de vaincre les partisans les plus impitoyables de l'apartheid, de ses geôliers jusqu'au commandement de l'armée sud-africaine. Il commença par gagner sa libération, puis remporta la présidence du pays en 1994. Mais il savait que l'Afrique du Sud était encore dangereusement divisée par presque 50 ans d'apartheid. S'il ne pouvait l'unir rapidement, d'une façon viscérale et émotionnelle, son pays allait s'effondrer dans le chaos. Il lui fallait mettre en oeuvre tout son charisme et son discernement stratégique au moyen d'une cause que tous les Sud-Africains pouvaient partager. Mandela choisit l'une des causes les plus improbables que l'on pût imaginer : l'équipe nationale de rugby, les Springboks, allait accueillir le tournoi de la Coupe mondiale de 1995. John Carlin, ancien chef du bureau sud-africain de l'Independent de Londres, offre un portrait singulier du plus grand homme d'État de notre époque, concoctant le volatil cocktail de la race, du sport et de la politique. Il a puisé à même de longues entrevues avec Mandela, Desmond Tutu, ainsi que des dizaines d'autres Sud-Africains engagés dans la campagne de Mandela et l'improbable triomphe des Springboks.
Voici le récit palpitant de l'une des plus grandes offensives de charme de l'histoire : la campagne de Nelson Mandela pour unifier son pays, en un parcours de dix ans d'une cellule de prison à un tournoi de rugby. Ce livre a inspiré le film éponyme réalisé par Clint Eastwood avec Morgan Freeman et Matt Damon. En 1985, Nelson Mandela, alors incarcéré depuis 23 ans, entreprit de vaincre les partisans les plus impitoyables de l'apartheid, de ses geôliers jusqu'au commandement de l'armée sud-africaine. Il commença par gagner sa libération, puis remporta la présidence du pays en 1994. Mais il savait que l'Afrique du Sud était encore dangereusement divisée par presque 50 ans d'apartheid. S'il ne pouvait l'unir rapidement, d'une façon viscérale et émotionnelle, son pays allait s'effondrer dans le chaos. Il lui fallait mettre en oeuvre tout son charisme et son discernement stratégique au moyen d'une cause que tous les Sud-Africains pouvaient partager. Mandela choisit l'une des causes les plus improbables que l'on pût imaginer : l'équipe nationale de rugby, les Springboks, allait accueillir le tournoi de la Coupe mondiale de 1995. John Carlin, ancien chef du bureau sud-africain de l'Independent de Londres, offre un portrait singulier du plus grand homme d'État de notre époque, concoctant le volatil cocktail de la race, du sport et de la politique. Il a puisé à même de longues entrevues avec Mandela, Desmond Tutu, ainsi que des dizaines d'autres Sud-Africains engagés dans la campagne de Mandela et l'improbable triomphe des Springboks.