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L'Église catholique est en voie de disparition rapide, en France et dans les pays développés. Ce n'est pas, comme on le dit souvent, une question d'adaptation à un monde qui change trop vite. Le problème est beaucoup plus profond et plus grave. C'est que l'Église est incapable de transmettre le message d'Amour du Christ. À travers différents articles et interviews rassemblés ici, c'est cette démonstration que poursuit l'auteur. Ce texte est ma toute première production théologique. Il m'avait été d'abord demandé par la revue jésuite Christus. Mais lorsqu'il vit le résultat, le directeur de la revue, un peu embarrassé, m'expliqua qu'il ne pouvait pas le publier car, dans mon exposé, je prenais continuellement parti pour la position théologique des orthodoxes contre la théologie traditionnelle dominante dans l'Église latine. Pourtant, dans cet article, je ne faisais pas de comparaison systématique entre les deux courants théologiques. Je ne me livrais à aucune polémique. Mais il est vrai que pour tous les lecteurs éventuels qui connaissaient la tradition latine, l'opposition était claire. Le seul exposé d'une tradition profondément chrétienne, mais différente de la ligne officielle, fut perçu comme intolérable. Peut-être précisément comme trop chrétienne ?
L'Église catholique est en voie de disparition rapide, en France et dans les pays développés. Ce n'est pas, comme on le dit souvent, une question d'adaptation à un monde qui change trop vite. Le problème est beaucoup plus profond et plus grave. C'est que l'Église est incapable de transmettre le message d'Amour du Christ. À travers différents articles et interviews rassemblés ici, c'est cette démonstration que poursuit l'auteur. Ce texte est ma toute première production théologique. Il m'avait été d'abord demandé par la revue jésuite Christus. Mais lorsqu'il vit le résultat, le directeur de la revue, un peu embarrassé, m'expliqua qu'il ne pouvait pas le publier car, dans mon exposé, je prenais continuellement parti pour la position théologique des orthodoxes contre la théologie traditionnelle dominante dans l'Église latine. Pourtant, dans cet article, je ne faisais pas de comparaison systématique entre les deux courants théologiques. Je ne me livrais à aucune polémique. Mais il est vrai que pour tous les lecteurs éventuels qui connaissaient la tradition latine, l'opposition était claire. Le seul exposé d'une tradition profondément chrétienne, mais différente de la ligne officielle, fut perçu comme intolérable. Peut-être précisément comme trop chrétienne ?