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Issue de la nuit des temps, l’alchimie a épousé le trajet de nos croyances et de nos connaissances. Celui du mouvement apparent du soleil, d’Orient en Occident. On la dit Mère de la chimie mais est-ce bien le cas ? En contradiction avec le postulat de Lavoisier, elle implique une notion de création, d’intervention d’un agent spirituel, d’un sel secret, qui suppose une force créatrice cosmique antérieure aux éléments. Ses promesses attirent bien des chercheurs mais l’alchimie n’est pas enseignée ouvertement. Elle se transmet de maître à apprenti et par le biais d’une littérature spécialisée, au vocabulaire cabalistique interdisant au profane d’y pénétrer. D’où les erreurs commises. Or l’alchimie n’est nullement cantonnée au domaine du livresque ou du spéculatif. Tout y est subordonné à la pratique, au contact parfois rebutant avec la matière, avec le feu, avec les risques encourus. Seul, donc, ou avec l’aide parcimonieuse d’un maître, l’apprenti doit suivre à son tour l’épuisant et interminable chemin initiatique qui le conduira, peut-être, au grand Secret. Ce Savoir, toutefois, il devra le rechercher dans de très nombreux livres, puis dans la matière. Notre premier travail est de débarrasser les ouvrages de l’épaisse couche de poussière pour faciliter la compréhension de cette littérature. Puis de donner un fil conducteur, permettant d’aborder la lecture des grands Maîtres pour pouvoir enfin se frotter à la matière. Au fil des pages, le lecteur découvrira donc tout le processus du Grand Œuvre, ses différentes étapes et les matériaux utilisés par l’alchimiste dans la solitude et l’obscurité de son laboratoire.
Issue de la nuit des temps, l’alchimie a épousé le trajet de nos croyances et de nos connaissances. Celui du mouvement apparent du soleil, d’Orient en Occident. On la dit Mère de la chimie mais est-ce bien le cas ? En contradiction avec le postulat de Lavoisier, elle implique une notion de création, d’intervention d’un agent spirituel, d’un sel secret, qui suppose une force créatrice cosmique antérieure aux éléments. Ses promesses attirent bien des chercheurs mais l’alchimie n’est pas enseignée ouvertement. Elle se transmet de maître à apprenti et par le biais d’une littérature spécialisée, au vocabulaire cabalistique interdisant au profane d’y pénétrer. D’où les erreurs commises. Or l’alchimie n’est nullement cantonnée au domaine du livresque ou du spéculatif. Tout y est subordonné à la pratique, au contact parfois rebutant avec la matière, avec le feu, avec les risques encourus. Seul, donc, ou avec l’aide parcimonieuse d’un maître, l’apprenti doit suivre à son tour l’épuisant et interminable chemin initiatique qui le conduira, peut-être, au grand Secret. Ce Savoir, toutefois, il devra le rechercher dans de très nombreux livres, puis dans la matière. Notre premier travail est de débarrasser les ouvrages de l’épaisse couche de poussière pour faciliter la compréhension de cette littérature. Puis de donner un fil conducteur, permettant d’aborder la lecture des grands Maîtres pour pouvoir enfin se frotter à la matière. Au fil des pages, le lecteur découvrira donc tout le processus du Grand Œuvre, ses différentes étapes et les matériaux utilisés par l’alchimiste dans la solitude et l’obscurité de son laboratoire.